Joël Peyrou (1968) poursuit un questionnement large sur l’identité et la notion d’appartenance et de reconnaissance. La sienne propre, et par extension celle du photographe et du sujet représenté. Il est l’auteur de Aux sources du geste, avec Michel Lorblanchet, (Le Domaine perdu 2011), et Les Invisibles, avec Gérard Mordillat, (Éditions de l’Atelier,2010).

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