David Sauveur, photojournaliste « habitué aux chaos de l’histoire », a couvert pendant 10 ans les zones de conflits – Afghanistan, Palestine, Liban, Sierra Leone, Kosovo, Libye… En 2011, il est victime dans les rues de Collioure d’une violente agression qui interrompt sa carrière et le laisse lourdement infirme et aphasique. Au prix d’efforts constants et quotidiens, il est pourtant resté celui qu’il a toujours été : un être lumineux dans sa relation à l’autre et au monde. Jerusalem. To the Last Path, constitue une parenthèse poétique dans son travail, un indispensable écho à ses images de guerres.

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